Améliorer la mobilité de mon animal de compagnie : 4 conseils

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4 CONSEILS POUR AMÉLIORER LA MOBILITE DE MON ANIMAL DE COMPAGNIE

Améliorer la mobilité de mon chien

1. Favoriser un exercice régulier

Pour ne pas prendre de poids, mais aussi pour maintenir une bonne musculature, rien de tel qu’un peu d’exercice ! Chez le chien, cela semble assez simple. Une, deux, voire trois balades quotidiennes permettront à votre compa- gnon de se dégourdir les pattes. Même si vous avez la chance d’avoir un grand jardin, l’idéal est d’accompagner votre chien à l’extérieur et de changer de temps en temps de lieu de promenade. Adaptez évidemment les sorties à la race de votre chien, à ses besoins spécifiques, mais aussi à son âge.

2. Proposer une alimentation équilibrée

Pour permettre à votre compagnon de conserver une bonne mobilité, il faut bien évidemment veiller à ce qu’il reste en bonne santé et, par conséquent, lui proposer une alimentation adéquate. Le premier objectif est d’éviter le surpoids : ce dernier, en plus de rendre les déplacements difficiles, peut favoriser l’apparition de douleurs articulaires et diminuer plus encore la mobilité de votre animal. La ration doit donc être équilibrée d’un point de vue qualitatif et quantitatif : n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire, car chaque animal a des besoins spécifiques en fonction de son âge, de sa race, de son statut physiologique (éventuelle stérilisation), mais aussi de son activité !

Dans tous les cas, il est essentiel d’éviter les écarts alimentaires, friandises ou restes de table en quantité trop importante. Si une petite exception de temps en temps n'est pas grave pour un chien au poids parfait, elle doit en revanche être évitée chez l’animal en surpoids.

3. Choisir des compléments alimentaires comme alliés

Pour maintenir un confort articulaire, notamment chez les chiens vieillissants, des compléments alimentaires pour chien existent. À base de plantes, de chondroprotecteurs comme les glycosaminoglycanes et la chondroïtine, ou encore d’acides gras Oméga-3, ils permettent de prendre en charge certaines douleurs articulaires et de limiter la progression de l’arthrose. Encore une fois, parlez-en avec votre vétérinaire, qui saura vous conseiller au mieux !

4. Adapter son environnement

Lorsque la mobilité devient compliquée, notamment chez le chien âgé, il est essentiel d’aménager son environnement. Objectif : limiter les chutes et traumatismes et rendre les déplacements plus faciles. Proposez donc à votre chien un coussin confortable dont il puisse se relever facilement, limitez son accès aux surfaces glissantes comme le carrelage. Et surtout, si les douleurs deviennent trop importantes, prenez rendez-vous pour la mise en place d’un traitement avec votre vétérinaire !

Améliorer la mobilité de mon chat

1. Favoriser un exercice régulier

Pour ne pas prendre de poids, mais aussi pour maintenir une bonne musculature, rien de tel qu’un peu d’exercice ! Mais chez le chat, ce n’est pas si facile... S’il a accès à l’extérieur, bien souvent votre compagnon félin y fera ses propres sorties, assurant ainsi son exercice quotidien. La situation est plus problématique si l’accès à l’extérieur est impossible. Vous pouvez bien sûr habituer votre chat au port du harnais et lui proposer des sorties en laisse, mais ce n’est pas toujours une partie de plaisir ni pour lui ni pour vous. La solution réside alors dans l’aménagement de son espace de vie pour le stimuler, notamment avec des jouets permettant la distribution de nourriture.

2. Proposer une alimentation équilibrée

Pour permettre à votre compagnon de conserver une bonne mobilité, il faut bien évidemment veiller à ce qu’il reste en bonne santé et, par conséquent, lui proposer une alimentation adéquate pour chat. Le premier objectif est d’éviter le surpoids : ce dernier, en plus de rendre les déplacements difficiles, peut favoriser l’apparition de douleurs articu- laires et diminuer plus encore la mobilité de votre chat. La ration doit donc être équilibrée d’un point de vue qua- litatif et quantitatif : n’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire. Chaque chat a en effet des besoins spécifiques en fonction de son âge, de sa race, de son statut physiologique (éventuelle stérilisation), mais aussi de son activité !

Dans tous les cas, il est essentiel d’éviter les écarts ali- mentaires, friandises ou restes de table en quantité trop importante.

3. Choisir des compléments alimentaires comme alliés

Pour maintenir un confort articulaire, notamment chez les chats seniors, des compléments alimentaires existent. À base de plantes, de chondroprotecteurs comme les glycosaminoglycanes et la chondroïtine, ou encore d’acides gras Oméga-3, ils permettent d’atténuer certaines douleurs articulaires et de limiter la progression de l’arthrose. Encore une fois, parlez-en avec votre vétérinaire, qui saura vous conseiller au mieux !

4. Adapter son environnement

Lorsque la mobilité devient compliquée, notamment chez le chat âgé, il est essentiel d’aménager son envi- ronnement. Objectif : limiter les chutes et traumatismes et rendre les déplacements plus faciles. Proposez donc à votre chat un coussin confortable, limitez son accès aux surfaces glissantes comme le carrelage, mettez à sa dis- position un petit repose-pieds au bord du lit pour l’aider à monter sur son lieu de couchage favori, ou ne laissez pas sa gamelle en haut des escaliers s’il a du mal à les monter, par exemple.

Et surtout, si les douleurs deviennent trop importantes, prenez rendez-vous pour la mise en place d’un traitement avec votre vétérinaire !